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Accroché au mur en banco par un jeu subtil de clous et de corde, je suis attiré par un vieux miroir au tain altéré par les ans, le vent, le sable du fouta. j'y découvre ma gueule d'homme. plus très jeune, plus très frais. cheveux rares en bataille contre une vieille brosse qui a, aussi, perdu son chemin entre atar et matam. barbe plus sel qu